14 nov. 2016

La viande des chiens, le sang des loups - Misha Halden




Auteur: Misha Halden
Editions: Fleuve noir
Genre: Triller
Année de sortie: 2016
Nombre de pages: 224


4ème de couverture:
« J'avais vu tout ça dans cette môme et j'aurais aimé être comme elle.
Mais on peut s'écorcher autant qu'on veut, on change pas la viande dont on est fait. »
1917. Un jeune soldat écrit des lettres à l’enfant, le sien, celui qu’il ne connaîtra pas. Il lui dit les hommes, leur rudesse et la douceur des livres, l’importance des mots. Il est assis dans un train qui le conduit vers des jours meilleurs. Mais une femme le fixe du regard depuis un bon moment. Dans les soubresauts réguliers du wagon, celui qui avait échappé aux séquelles physiques de la Grande Guerre tombe sous la sauvagerie des coups de stylet.
2015. Rory est un vieux chien sans plus de collier qui a fui Paris la grise pour un coin paumé de campagne où il savoure chaque minute de son isolement. Lui et ses velléités d’auteur qui n’a jamais réussi à se faire publier, lui qui hait les débuts, qui ne sait jamais par où commencer, va raconter une histoire dingue de tendresse et de cruauté, une histoire d’humanité brute qui lui est arrivée.
Tout commence le jour où, en rentrant chez lui, il tombe nez à nez avec un rôdeur en train de mettre à sac son salon. Une fille surgit alors comme une furie et séquestre l’espace de sa présence. Le type se suicide. Cette fille, c’est Lupa, sorte de femme-enfant sortie des bois qui fait irruption dans la vie de Rory pour lui redonner la sensation d’exister. D’où vient-elle ? Qui sont ceux qui la traquent ? Est-elle la chasse gardée d’une confrérie d’illuminés ? Et que vient faire Rory dans cette histoire ? Lui qui cultive gentiment sa misanthropie depuis une décennie va devoir revoir sa copie.
Dans ce roman en forme de conte initiatique noir, il est question des origines dont on ne se détache jamais, d’emprise psychologique et physique, de disparitions, d’animaux et d’hommes, de valeurs fondamentales qu’il est temps de remettre au goût du jour… D’humanité prise à la gorge et qui ne demande qu’à se défaire de ses liens. 



Mon avis:

Le résumé de ce roman me tentait beaucoup mais malheureusement je ressors de ma lecture avec un avis très négatif.

Au début du livre, nous suivons un soldat qui pendant la guerre, écrit des lettres à son enfant à venir puis quelques pages plus tard, nous suivons Rory un écrivain sans succès plein de haine  qui court après le souvenir d'un amour perdu.

Et je dois dire que je n'ai pas du tout compris où l'auteur voulait en venir, ni le lien entre ces deux personnages. J'ai eu énormément de mal à rentrer dans l'histoire et à suivre l'intrigue.
 L'auteur m'a complètement perdu et j'ai eu énormément de mal à finir ma lecture.

Personnellement, j'ai trouvé l'histoire très brouillonne.
Je n'ai d'ailleurs pas du tout accroché au style de l'auteur que je découvre avec ce roman. Le langage utilisé est très familier.

En bref, une grosse déception pour moi. Mais, je tiens à préciser que c'est mon avis personnel et donc n'hésitez pas à vous faire votre propre avis en découvrant cette histoire.









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